Article scientifique
Optimisation de l'efficacité mitochondriale contre la dégénérescence des neurones dopaminergiques dans le contexte de la maladie de Parkinson
Mon rôle
Stagiaire
Techniques utilisées
Seahorse, immunomarquage, microscopie à épifluorescence.
Organisation
Année
2021
La maladie de Parkinson (MP) se caractérise par une perte massive des neurones dopaminergiques (DA) de la substance noire compacte. La vulnérabilité sélective de ces neurones est marquée par plusieurs facteurs dont la taille impressionnante de leur arborisation. En effet, elle serait représentative de leur grand besoin énergique dont la principale source serait la phosphorylation oxydative. Cette voie est connue pour produire des réactifs dérivés de l’oxygène et le stress oxydatif s’ensuivant contribue considérablement à leur vulnérabilité. L’hypothèse posée est qu’il est possible d’améliorer la survie et la taille de l’arborisation des neurones en utilisant des molécules optimisant le fonctionnement de la mitochondrie.